C'est une bien triste et improbable histoire que nous rapporte un blogueur sur son site. Alors qu'il s'apprétait à rentrer dans la salle de cinéma pour regarder son film, le controleur de billets l'a aiguillé vers une certaine salle qui s'est avérée ne pas projeté le film qu'il voulait voir. Il est donc ressorti pour demander une explication, et il n'était pas le seul.Voyant que le personnel du cinéma ne faisait pas vraiment d'efforts pour réparer leur erreur, il a commencé a manifester son mécontentement tout en fédérant les autres clients victimes de la bévue. La réaction du staff du cinéma ne s'est pas faite attendre. Il a été frappé et littéralement éjecté du cinéma. Bilan: Luxation de l'épaule et entorse de la cheville.
L'histoire complète et détaillée est sur son blog :
ici
"Sombre avenir en perspective pour les salles obscures"
Ces gros complexes baffouent le 7e art. Chez eux le film n'est plus que ce que monsieur Le Lay qualifie de "Temps de cerveau humain disponible". Il n'est qu'un prétexte pour placer des tonnes de pubs et vendre toutes leurs bouffes autour. D'autres anecdotes mettent en avant la cupidité dont ils font preuve au dépit du respect du client, comme ce couple qui a subi un contrôle d'identité de la police dans la salle de cinéma car la femme consommait un sandwich qui n'avait pas été acheté sur place.Il est certe plus facile d'aller dans ce genre de structures qui proposent la majorité des films avec de très nombreuses séances, mais si vous vous renseignez vous trouverez certainement un petit cinéma plus modeste qui vous proposera moins de films mais en pourcentage de meilleures qualités.
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