jeudi 24 novembre 2011

Bi-sport

Un concept original où les animateurs nous présentent un mix de deux sports. Ca paye pas de mine mais l'idée est sympa et peut donner lieu a de bonnes trouvailles.
Je suis assez fan de l'haltérophilie plongeon.












Lien

le site des animateurs : Jesuisbiencontent

samedi 19 novembre 2011

Le block-buster de Yann-Arthus Bertrand

Un montage de nombreux plans vu du ciel dans les films. Une vision en mode tout puissant intéressante.


God's Eye View from Brian Carroll on Vimeo.

jeudi 2 juin 2011

Le post le plus calorique du monde.

L'été n'a jamais été aussi proche, c'est donc l'heure d'intensifier les régimes pour être en place sur la plage en maillot. Parce que là pas de retouche photoshop pour gommer les bourrelets et les impuretés de la peau, c'est à coup de 50 crèmes différentes appliquées sur la tronche, de brocolis vapeurs sans sel et de footing quotidiens que les résultats vont se faire ressentir. Mais bon pour avoir le temps de se tartiner la tronche de nivéa, l'oréal et consort faut se lever 2h avant d'aller au taff, se coucher 2h plus tard pour courir, et avec la pauvre branche de brocolis dans le bide c'est nuit blanche assurée à crever la dalle en pensant à un bon gros cassoulet.



Résultat le jour fatidique, vous arrivez sur la plage avec des cernes plus grosses que les bourrelets que vous avez fait fondre, une paire de béquilles parce qu'avec la fatigue accumulée vous avez fini par vous faire une entorse de la cheville pendant votre séance de "yogging", et par dessus ça une bonne grosse dépression. Autant dire qu'on est loin des conditions optimales pour "pécho". Vous décidez donc au bout de 10 minutes de rentrer à la maison et de vous réfugier dans la bouffe pour oublier tout ça.




Pour vous aider dans cette déchéance solitaire, voici deux recttes de cuisines de l'équipe "EPICMEALTIME", qui propose les plats les plus caloriques que l'on puisse imaginer.



Ici un poulet dans un canard, lui même dans une dinde pui mis dans un cochon. Le tout avec beaucoup de bacon. Une vraie performance.



Ici les "lasagnes fast food". Chaque couche est faite de burger de chaines de fast food différentes.
Le tout avec beaucoup de bacon.



La cuisine suédoise en douceur.

Un suédois nous livre une recette de cuisine à sa manière.

Dripped

Dripped from ChezEddy on Vimeo.

samedi 23 avril 2011

Staff Benda Bilili!

Papa Ricky se déplace toujours sur son vélo. Mais un vélo bien particulier sur lequel il doit pédaler avec les bras. Car comme ses camarades, et de nombreux habitants de Kinshasa en République Démocratique du Congo, Papa Ricky est atteint de la polyo et n'a plus l'usage de ses jambes depuis longtemps. Puis comme tout ses camarades aussi, il vit dans la rue. Mais qu'importe, face à ce tableau bien sombre ce bonhomme reste accroché à un rêve. Ce rêve c'est le staff Benda Bilili. C'est lui qui l'emménera en Europe, qui le fera gagner de l'argent et lui permettra de nourrir sa famille.

Ce staff, c'est son groupe de musique avec lequel il joue dans la rue depuis de nombreuses années. Au milieu des enfants vagabonds, ces hommes marqués par la vie et leur maladie balancent leurs mélodies nourries de nombreuses influences du monde entier. Puis un jour ils ont croisés Renaud Barret et Florent de la Tullaye qui ont décidés de réaliser un documentaire sur "ces prodiges ignorés" comme ils les qualifient.



Leurs réflexions, leurs rencontres, leurs malheurs ponctuent ce documentaire. Mais c'est surtout la musique qui se pose en fil conducteur de ce rêve qui semble si lointain. D'abord la manche, les répétitions dans un zoo et les premiers essais en studio pour un album.Puis leur centre d'accueil de rue brule et emporte avec lui tous leurs espoirs. Puis finalement l'enregistrement de l'album, et enfin le départ pour l'Europe avec les premiers concerts et un bonheur irradiant les spectateurs.




C'est vraiment émouvant dans le bon sens comme dans le mauvais. On sort d'un côté heureux et euphoriques pour ces hommes qui accomplissent leur rêve et sortent de la misère à force de travail et d'acharnement (et un petit coup de pouce du destin tout de même), mais l'on prend en pleine face la situation déplorable de Kinshasa avec ces foules qui n'ont plus l'usage de leurs jambes (on voit même un match de foot se jouant à 4 pattes suivi par énormément de monde) et tous ces enfants qui vivent dans la rue.

Mais bon le staff benda bilili nous met quand même la pêche "très très fort!". A voir et à écouter.

La bande-annonce:



Leur album:
staff benda bilili - tres tres fort!

lundi 18 avril 2011

Les chroniques terroristes

Un petit court-métrage d'anticipation (ou pas) qui nous livre les derniers instants d'un condamné à mort, entrecoupés de flashback expliquant la raison pour laquelle il a écopé de la peine capitale. Il est tout simplement considéré comme un terroriste par le gouvernement qui qualifie comme tel toute personne tenant des propos ou engageant des actions contre le pouvoir en place. C'est par le biais d'une radio indépendante que "le pirate" officie. Il est joué par captain, un véritable animateur de radio nova.

C'est assez bien réalisé et plutôt bien joué. Les dialogues sont travaillés et ne tombent pas dans la lourdeur politique qu'aurait facilement pu engendrer un tel sujet.




Le dernier pirate par Barnum-Films

Source : http://www.korben.info/le-dernier-pirate.html

Brigitte - Ma Benz

Réinterprétation très sensuelle de la chanson de NTM.

dimanche 3 avril 2011

Street Art: Space invader

Invader ou Space Invader est un artiste de Street Art Français. Son identité réelle reste inconnue car pour poser ses oeuvres il doit souvent braver la loi. Son pseudo révèle à la fois le fond et la forme de son travail.


"Invader à Paris"


La forme d'abord, car son travail représente majoritairement des petits personnages issus du célèbre jeu "space invader" qu'il recrée en mosaïque grâce à des carreaux de faïence de différentes couleurs. Ce procédé confère l'aspect pixellisé du jeu de l'époque.
Le fond ensuite car il pose ses petits personnages partout dans le monde: au milieu des villes, dans des lieux privés, souvent des endroits incongrus, et tout ça toujours de manière très discrète. La démarche est donc une invasion virale de l'espace par son oeuvre.


"A Rome"


Parmis les plus grandes villes "envahies" figurent Paris, Barcelone, Londres, New-York, Tokyo et biens d'autres. L'on peut retrouver son travail dans une quarantaine de cités tout autour du globe.
"A Bilbao"


Internet a ensuite fait son office en relayant son oeuvre et l'a fait jouir d'un très grand succés, si bien qu'il a pu exposer dans une galerie. Durant cette exposition il a même lancer un nouveau courant artistique, le "rubikubisme", en présentant un portrait du dalaï lama uniquement composé de Rubik's cube.

Un documentaire sur lui est en cours de réalisation. En voici deux extraits.





Difficile de deviner qu'il est Français si on le sait pas, il n'a vraiment pas d'accent.

Voici son site : http://www.space-invaders.com/

samedi 2 avril 2011

La déco instantannée.

Vous en avez marre des émissions déco qui ont envahies vos écrans de télé, avec en tête de file une Valérie Damidot plus gavante et bourrative que 20 Paris-Brest, balançant ses "mon pti chat" à tour de bras? Fini tout ça! Plus de travaux, de coupage, de collage ou je ne sais quel chinage dans les brocantes de quartier. Juste un vidéoprojecteur bien placé et votre intérieur peut arborer de multiples visages à votre guise.



Living Room from Mr.Beam on Vimeo.

samedi 19 mars 2011

Carlitopolis

Ce petit court métrage est vraiment surprenant. C'est une vraie performance du réalisateur, Nieto, qui projette son film sur grand écran et donne en même temps l'illusion d'intéragir avec la vidéo. Pour l'animation principale, c'est déja du très bon boulot, mais le plus impressionnant est la synchro des mouvements avec la vidéo.



Hot corn

Hot corn est la dernière création du collectif Argentin Can Can Club.

mardi 1 mars 2011

Weeds saison 6




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Je commence par quelques points de suspension pour exprimer mon état suite au visionnage de cette saison. Sans voix, bouche bée, sur le cul. Jusqu'ici weeds n'était pas vraiment ma série préférée. J'ai toujours suivi les saisons avec plaisirs mais jamais en me jetant dessus comme un mort de faim. Mais là elle vient de prendre une toute autre dimension pour moi. Je m'explique.

Ressituons la série pour ceux qui ne connaissent pas. Nancy Botwin perd son mari qui la laisse seule avec leurs deux enfants. Faisant face à des difficultés financières pour les élever, elle décide de se mettre à vendre de l'herbe. Au fil des épisodes, son ascension dans ce domaine est très bien rythmée. Elle s'entoure de collaborateurs, fait face à la concurrence et s'adapte en permanence avec une intelligence et un culot incroyables. Sans oublier sa plastique avantageuse qui n'est pas pour la desservir. Outre ses problèmes de dealeuse, elle doit gérer ceux d'une mère et en particulier l'éducation de shane, le petit "bizarre", très mature pour son age avec une pschologie difficile à appréhender.

Présenter comme cela la situation semble dramatique, mais weeds est avant tout une série comique pleine de second degrès. De nombreux personnages biens barrés y défilent avec le duo Doug et Andy en tête de file. L'un est un comptable véreux et l'autre et le frère du défunt père. Tous les deux fumeurs d'herbe invétérés, ce sont les vrais gosses de la série.




Bref je n'étais pas là pour parler de la série en général mais bien de cette saison 6. Je ne vais pas rentrer dans les détails pour ne pas révéler quoi que ce soit à ceux qui en seraient encore aux saisons précédentes.Cette saison 6 a su garder l'esprit distillé au cours des saisons précédentes mais en y rajoutant une vraie touche dramatique.Toute la petite tribu se retrouve en cavale . Ils changent donc d'identité et essaye de prendre un nouveau départ en restant cette fois ci sur les rails de la loi. Situation qui ne dure qu'un laps de temps très succin. Commence alors un road trip à travers les Etats-Unis qui entrainent de nombreuses rencontres et des situations rocambolesques. Cela nous donne une saison vraiment très dense et riche. Du non-stop tout le long, sauf vers les derniers épisodes où le jeu se calme quelque peu. L'on se recentre plus sur la psychologie des personnages et l'on fait face à quelques petites révélations croustillantes. Tout cela pour mieux préparer le terrain au feu d'artifice final. Le dernier épisode de cette saison est juste parfait. D'une intensité à couper le souffle, parfaitement orchestré pour recevoir des charges émotives de grande ampleur mais sans jamais tomber dans le pathos, ceci aussi grâce aux acteurs qui sont tous parfaits. Puis un final que personnellement(car certains me disaient que c'était gros) je n'ai vraiment pas vu venir et qui m'a vrillé le cerveau. De plus il laisse place à de nombreuses possibilités aux scénaristes pour la saison à venir.

Voila pour mon avis. Certains n'adhèrent vraiment pas à mon opinion sur cette saison. Si vous êtes dans ce cas j'aimerais vraiment savoir ce qui ne vous a pas plu. Sinon pour ceux qui ne l'ont pas vu bah je ne peux que vous conseiller de foncer. Même ceux qui n'ont pas débuté la série. C'est bien rythmé, ca ne tombe pas dans le cliché, c'est bien joué et très intelligent. C'est du showtime(Californication, dexter, United states of tara, ...). Yo!






Je met quand même le trailer de la saison. A ne regarder que si vous avez vu la saison 5.

mercredi 23 février 2011

Un ado paparazzo

Austin Visschedyk, c'est un petit blond de 13 ans vivant à Los Angeles, et qui a pour passion la photo. Mais pas n'importe quelle type: les photos volées de Star. Cet ado est un jeune paparazzo d'Hollywood déja très professionnel. Il a du matos dernier cri, les conatcts qui lui refilent des tuyaux, est intégré dans le milieu et a du culot à revendre. Ce profil atypique a aiguisé la curiosité de nombreuses personnes et en particulier de l'une d'entre elles, et pas la moindre, Adrian Grenier. Le héros de la série "Entourage" a même décidé de réaliser et produire un reportage sur le gamin.


"Adrian Grenier alias Vincent Chase dans Entourage."

Pour "Teenage paparazzo", l'acteur s'est donc accompagné d'une petite équipe et a suivi la vie hyper speedée d'Austin. Toujours sur le pied de guerre, ses journées sont rythmées par celles des stars qu'il pourchasse.Stars qu'il approche beaucoup plus facilement que ses confrères grâce à son sourire angélique le rendant "so cute!".Beaucoup commencent à s'intéresser à lui et il se retrouve vite devant l'objectif.On va même jusqu'à lui proposer d'être le héros d'une télé-réalité. Le bambin change et le réalisateur se fait grand frère en essayant de comprendre ses aspirations et de le faire se tourner vers un domaine plus artistique de la photographie.



"Le petit Austin et son appareil à 6000$."

Si le parcours hors-norme de cet enfant donne une trame de fond dense et dynamique à ce reportage, l'autre grand intérêt réside dans l'immersion au sein d'un milieu très fermé: celui des paparazzi. L'on se rend compte qu'une vraie communauté souvent soudée existe. Des hommes et des femmes qui font très rarement cela par passion ou voyeurisme mais mais bel et bien pour nourrir leurs familles. Ces "mouches à merde"( c'est la traduction du terme paparrazi), paradoxalement à leur activité, sont très pudiques, et deviennent même hostiles lorsque les caméras de Adrien Grenier s'invitent. Mais petit à petit certains viennent à se livrer et nous livrent un regard très lucide sur leur profession.

L'on obtient au final un très bon documentaire qui ne se contente pas de nous filmer l'ascension fulgurante d'un gamin à Hollywood, mais creuse un peu plus pour essayer de comprendre un métier que l'on ne connait pas, et de nous livrer une vraie réflexion sur ce qu'est la célébrité.



mardi 22 février 2011

Illusions

Nous avons en nos yeux une confiance aveugle( ha ha!), c'est d'ailleurs pour ça que l'on dit que l'on crois que ce que l'on voit. Mais nos deux compagnons de routes, aussi efficaces soient ils, ne sont pas infaillibles, et nombreux sont ceux qui s'amusent, par le biais des perspectives, à les berner. Cela donne des illusions d'optiques. En voici deux exemples que j'ai trouvé assez classes.




vendredi 18 février 2011

I'm on crack

Comme son nom l'indique, cettte chanson nous fait suivre le trip (soft) d'un gars sous crack. Visuellement c'est plutôt très bien foutu et le morceau, sans être génial, fait assez bien le boulot.

mardi 15 février 2011

Danse du touchdown et des pectoraux.

Voici deux vidéos qui n'ont aucun intérêt particulier si ce n'est celui qu'elles m'ont faites marrer. Un type qui danse on ne sait trop pour quelle raison et un autre qui excite ses pectoraux sans plus de motifs que le précédent. Les deux sont bons. Des vidéos WTF(what the fuck), acronyme anglais voulant dire "putain mais c'est quoi ce truc?". Là c'est un peu ça.

Video - Danse du Touchdown

Video - Inscription Bang Bang

vendredi 11 février 2011

Les films de 5 secondes.

"5 second movies" est une sorte de collectif bien déjanté qui s'est lancé il y a quelques temps dans la réalisation, comme son nom l'indique de mini-clips de 5 secondes. Le plus souvent ces films sont humoristiques et très décalés. Ils postent une nouvelle vidéo chaque jour ce qui implique qu'il y a forcément du déchet. Mais bon dans ce cas ce n'est que 5 secondes de perdues. Et ça vaut le coup de fouiller un peu car il y a des petites perles.

Voici une petite sélections des dernières que j'ai vu.






Snack Time 5 Second Films
envoyé par sonia555444. - Regardez plus de vidéos comiques.













Leur chaine youtube est ici.

dimanche 16 janvier 2011

Un moustique en désintox.

Un moustique décide de faire un break sur sa consommation de sang. Entreprise qui s'avère très compliquée, surtout lorsque ceux qui l'entourent s'en donnent à coeur joie.

Betclic chez les zombies.

C'est pas trois pauvres zombies qui vont faire perdre un pari sportif. Alors on rentre dans le lard un bon coup et ça va passer.

dimanche 9 janvier 2011

Quand le yoyo devient un art.

Je ne pensais pas que le yoyo pouvait prendre une telle dimension. Ici nous avons une démonstration de dextérité de la part de Hiroyuki Suzuki, un des maitres de la discipline. Ca va vite.




Puis ici la prestattion de Jensen Kimmitt qui lui a permis de devenir champion du monde en 2010.





Easy.

vendredi 7 janvier 2011

960 images par seconde

Tout est calme et pur. Puis le mouvement se lance et tout devient sale et chaotique. Cela n'a pas grand intérêt si ce n'est qu'avec une prise vidéo à 960 images par secondes l'on peut percevoir le moindre détail des mouvements et c'est plutôt beau.

The Huber Experiments - Vol. 1 from The Upthink Lab on Vimeo.